Jusqu'au point de non-retour, plutôt limite de notre amour.

J’te croyais différent. J’te pensais assez intelligent pour comprendre. Comprendre que je t’aimais. Tu vois, malgré mes réticences, j’me disais que tu saurais que je te voulais. Mais apparemment, tu n’étais pas assez subtil pour voir les petites étoiles dans mes yeux lorsque tu mes parlais, pour repérer mes joues qui s’empourpraient en ta présence. J’imaginais que malgré mes mots, tu avais compris. Et tu sais ? J’ai été assez conne pour croire que ce petit jeu de séduction qui t’es si caractéristique n’était pas qu’un jeu avec moi, qu’c’était différent d’avec les autres filles. Pauvre imbécile. T’as l’droit de l’dire. C’vrai, on n’va pas s’voiler la face, j’suis une pauvre cruche qui commençait à réellement tomber amoureuse. J’avais baissé les armes, ouvert la carapace ainsi que mon cœur. Tu m’as bercé d’illusions pour que j’aie confiance en toi. Sauf que toi tu jouais, moi j’fonçais dans l’mur. J’ai même été imaginé qu’tu pouvais vouloir d’une histoire avec moi même si elle n’aurait pas été sérieuse. Idiote ! Et encore une fois, j’me retrouve seule avec mon cœur brisé entre les mains…

Titre : Isabelle Adjani, Pull marine

Comments

[Karleman]

J'espère que ça s'arrangera. Parfois les sentiments d'amours sont difficiles à exprimer. Surtout lorsqu'ils sont sincères.
Bon courage et bonne chance.